jeudi 23 décembre 2010

Bon plan tablettes : l'iPad à 149 € et la Galaxy Tab à 99 €




Virgin Mobile
Si le prix des tablettes était le dernier obstacle à leur achat, Orange et Virgin Mobile proposent des offres très alléchantes sur les deux modèles phares du moment. L'iPad d'Apple est proposé à partir de 149 € chez Orange et la tablette de Samsung, la Galaxy Tab, est mise en vente à partir de 99 € chez les deux opérateurs. Faites vite, les offres sont limitées. 


Logo Orange
Orange et Virgin Mobile l'ont bien compris, l'objet qui se retrouvera le plus fréquemment au pied du sapin de Noël risque de s'appeler iPad ou Galaxy Tab. A trois semaines de Noël, les deux opérateurs cassent les prix de ces tablettes. 

ipad sur fond blanc

Orange offre 100 € de remboursement pour l'achat d'un iPad
 avec un forfait intense à 35 €/mois ou un forfait multimédia à 31 €/mois avec un engagement de 24 mois, ce qui met l'iPad 16 Go à 149 € alors qu'à son lancement il était à 279 €. 








tablette tactile galaxy tab
Quant à la Galaxy Tab, les deux opérateurs pratiquent aussi une offre de remboursement. Chez Orange, il faut prendre un forfait intense3G+ à partir de 31 €/mois avec un engagement de 24 mois pour bénéficier d'un remboursement de 100 € et acquérir la tablette à 99 €. 


Chez Virgin Mobile, pour bénéficier de l'offre de remboursement de 50 € qui permet d'acheter l'ardoise multimédia à 99 €, il faut prendre un forfait E-Divine ou Divine Collector. 

Attention, chez Orange les offres de remboursement pour l'iPad et la Galaxy Tab sont limitées à 5000 unités. Quant à Virgin Mobile, l'offre sur la Galaxy Tab s'arrêtera le 31 décembre 2010. Alors faites vite, il n'y pas de temps à perdre ! 



Et si vous voulez faire débloquer une tablette Samsung Galaxy tab, demandez nous : www.debloquersonportable.fr

Wikileaks persona non grata sur l'App Store d'Apple

Julian assange Wikileaks
Décidément rien de va plus pour Wikileaks. Après avoir perdu le soutien d'Amazon et de la France, lesite web de Julian Assange vient d'être lâché parApple. La firme de Cuppertino vient de retirer de l'App Store, une application non officielle Wikileaks au motif qu'elle mettrait en danger une personne ou un groupe. 

applications pour iphone
Rien ne va plus pour Julian Assange, le fondateur de Wikileaks. Alors qu'il vient de sortir de prison, un soutien de poids vient de se délester de son embarrassant site. Apple a annoncé avoir retiré de la vente, trois jours après l'avoir validée, une application non officielle Wikileaks pour iPhone et iPad aux motif qu'elle ne respectait pas ses règlements. Développée par Igor Barinov, elle coûtait 1,99 € et permettait d'avoir accès depuis un mobile à tous les contenus du site. 

Pour supprimer cette application, Apple a invoqué les mêmes arguments mis en avant par nos gouvernant et tous les détracteurs de ce diffuseur de fuites d'information. A savoir qu'en publiant les câbles des services diplomatiques américains, le site de Julian Assange aurait mis en danger les hommes et le femmes dont les noms figurent sur ces messages. 

logo Apple
Selon Truddy Miller, porte-parole d'Apple, « les applications doivent respecter les lois locales. […] Elles ne doivent pas créer de préjudice à une personne ou un groupe donnés. » mettant en avant les articles 14 et 22 de la charte destinée aux développeurs qui stipulent que l'application « ne doit pas être diffamatoire […] ou mettre en danger une personne ou un groupe » et qu'elle doit « [i]respecter les lois de tous les pays ou l'application est accessible. » 

Avec cette décision, Apple semble faire preuve de réalisme et ne préfère pas heurter les gouvernements farouchement opposés à Wikileaks. A moins que la firme de Cuppertino ait décidé de faire le ménage sur l'App Store en retirantles applications sexy, les applications grossières et maintenant en s'attaquant à la liberté d'expression. Think different.


lundi 20 décembre 2010

Test du Desire Z : le clavier physique de retour chez HTC !

HTC revient à ses premières amours (HTC Dream) en proposant un nouveau mobile Android doté d'un clavier physique articulé. Depuis la sortie du premier Google Phone en France qui remonte à vingt mois (déjà), de l'eau a coulé sous les ponts. Le système passe en version 2.2, la couche « HTC sense » a fait son apparition et la plate-forme matérielle bénéficie des avancées de Qualcomm en matière de puissance processeur. L'appareil est-il en mesure de combler les fans d'Android amateurs de clavier physique ? La réponse à l'issue de ce test ! 


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Présentation photo du Desire Z


À première vue, le Desire Z conserve les mensurations du premier HTC Desire. Clavier physique oblige, l'appareil est juste un peu plus épais que son illustre prédécesseur. Dans l'ensemble, la finition est conforme à ce que l'on a l'habitude de voir chez HTC : elle est quasi irréprochable. L'écran est cerclé de métal brossé. Ce matériau recouvre également la partie arrière du terminal. Pour accéder aux emplacements batterie, SIM ou Micro SD, il faut déposer ce petit couvercle en actionnant un loquet situé sur la tranche. Le reste de la coque est constituée d'un plastique recouvert d'une surface « peau de pêche » gris métallisé qui confère un aspect précieux, et rappelle le premier Desire.

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En façade, le haut-parleur ainsi quel la LED de charge sont placés derrière une fine grille métallique. Sur la tranche, on trouve un bouton « Power » ainsi qu'une prise casque standard (Jack 3.5 mm). À la base de l'écran, on retrouve un mini trackpad tactile qui remplace le trackball miniature physique de l'HTC Dream. Plus de problèmes d'encrassement, donc, mais ce nouveau pointeur ne donne pas vraiment satisfaction (voir vidéo de test). Cette zone est surplombée de 4 touches tactiles qui accompagnent souvent le système mobile de Google. Ces dernières sont un peu trop rapprochées de l'écran tactile. Il arrive donc que l'on réalise des actions non sollicitées en voulant presser sur une des touches tactiles… Sur l'arrière, on trouve un appareil photo de 5 mégapixels autofocus épaulé par un petit flash LED.

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Enfin, impossible de parler du Desire Z sans aborder la question de l'articulation du clavier physique. Exit le système un peu alambiqué du Dream. Cette fois, il suffit de faire pivoter le clapet de haut en bas. À première vue, le procédé semble très fragile : l'écran est maintenu par trois petites pattes qui font office de charnière. À y regarder de plus près, HTC a bien fait les choses : les trois pivots ne sont pas faits de plastique, mais bien d'un métal qui inspire plutôt confiance. Les touches sont suffisamment larges (pour un Smartphone) et confortables. Seule la nervure latérale métallique du bas s'avère être un peu gênante lorsqu'on actionne la première rangée de touches. Rien de grave


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Téléphonie et gestionnaire PIM


La couche logicielle qui gère les fonctionnalités téléphoniques du mobile ainsi que les applications PIM ont été profondément revues par HTC. Les modifications vont dans le bon sens. La prise en main est assez intuitive et surtout, on note une bonne intégration des réseaux sociaux et autre service de microbloging du moment. Ainsi, il est possible de lier une fiche de l'annuaire natif du téléphone avec un contact FaceBook ou un pseudonyme Twitter. La qualité d'écoute n'est pas en reste, le Desire Z ne pose pas de problème à ce niveau.

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La couche téléphonie d'Android a été profondément revue par HTC


Le confort du surf Web est-il au rendez-vous ?


Le confort de surf est rehaussé par la présence d'un clavier coulissant de bonne facture. Ici, il est possible de taper une adresse Web en mode paysage sans que l'affichage soit grignoté par un gigantesque clavier tactile virtuel. Lorsqu'on déploie les touches, le clavier virtuel disparait et l'affichage bascule automatiquement sur un mode paysage.

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Les vidéos Flash fonctionnent généralement à la perfection

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Mode paysage… avec clavier physique complet


Après la saisie, passons au pointage avec une petite déception : le mini trackpad n'est pas assez sensible. Il ne permet pas vraiment (ou le fait mal) de faire défiler les pages lentement, ou de sélectionner des liens avec précision. C'est un peu du tout ou rien, ce qui est dommage dans la mesure ou en position clavier, l'utilisation d'un tel périphérique de saisie est appréciable. Bien sûr, on peut toujours se rabattre sur l'écran tactile qui répond ici à la perfection.

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Mode portait. À gauche : le fameux système d'onglets basé sur le zoom


Pour le reste, pas de problèmes à signaler. On se situe même plutôt dans le très bon : malgré un processeur cadencé en 800 MHz (contre 1Ghz pour de nombreux concurrents), le navigateur parvient à garder une bonne souplesse. Flash n'est pas en reste : le plug-in est installé par défaut (même si il est conseillé de le mettre à jour via le Market pour de meilleurs performances). La majorité des vidéos se lisent de façon parfaitement fluide. Du tout bon. Seul petit bémol : HTC a tenté d'innover en mixant zoom de page et système d'onglet. Lorsqu'on réduit le ratio d'affichage de la page au maximum, on sort de l'affichage classique pour se trouver nez à nez avec le système d'onglets. L'idée était alléchante, mais dans la pratique, on s'aperçoit qu'on ouvre constamment le gestionnaire d'onglet sans le vouloir.

Desire Z : Un bon lecteur audio ?


L'activité audio commence à être maitrisée parfaitement par l'ensemble des Smartphones. Le Desire Z ne fait pas exception à la règle, mais il faut tout de même noter que les grosses améliorations apportées par HTC sur le Desire HD ne sont plus de la partie. L'affichage 3D des pochettes type « CoverFlow » à disparu, tout comme les nombreux réglages sonores qui étaient proposés sur le Desire HD (12 profils audio + mode dolby et WOW HD). Si l'absence des fioritures visuelles n'est pas dramatique, le retrait des profils audio est nettement plus ennuyeux.

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Comparé au Desire HD : plus de profils audio. Heureusement, le tandem logiciel/casque offre tout de même une bonne qualité d'écoute.


Pour le reste, on retrouve le lecteur audio d'HTC dans sa forme initiale, à cela près qu'il conserve l'unique « fonctionnalité » du Desire HD dont on se serait bien passé à savoir : le module Amazon MP3. Ce dernier donne un peu l'impression de se trouver en présence d'une application « Lite » distribuée sur l'Andoid Market, ou sur l'AppStore. Heureusement, le tandem logiciel/casque offre tout de même une bonne qualité d'écoute.

L'appareil photo numérique (+capture vidéo)


L'appareil photo de 5 mégapixels fait son possible, mais il ne faut pas lui demander la lune. On se situe un cran en dessous du HTC Desire HD qui s'avérait déjà être un peu décevant pour un 8 mégapixels. Les clichés ne sont pas très nets et les couleurs manquent de vivacité. Ne jetons pas la pierre, nous sommes en présence d'un smartphone et non d'un compact, la qualité est suffisante pour dépanner en cas de besoin. D'autre part, on apprécie la présence d'une douzaine d'effets visuels (distorsion, vintage, noir et blanc, etc.) ou plus simplement, la présence d'une touche matérielle située sur la tranche du mobile. Pour clore le chapitre des améliorations logicielles, HTC s'est également efforcé de proposer un retardateur, une option de géolocalisation, une balance des blancs, ou un mode de prise de vue basé sur la détection de visages ! Difficile de faire plus complet. Le célèbre constructeur confirme à nouveau sa volonté d'offrir une expérience Android améliorée à ses clients.

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Des performances moyennes, mais pas catastrophiques.


En matière de capture, l'appareil se défend plutôt bien ! Le Desire Z est capable de produire des vidéos fluides relativement nettes d'une résolution de 1280 x 720 @ 30 i/s (format 3Gp) encodés en MPEG4 (AVC). Le module d'encodage HD du nouveau processeur de Qualcomm fait un excellent travail.

Quid du GPS ?


La puce qui équipe la Desire HD se montre plutôt performante. Par temps couvert, l'appareil parvient à réaliser un fix valide en 40 secondes. Côté logiciels, la toute nouvelle surcouche « HTC Sense » apporte son lot de nouveautés ! En plus de Google Maps, HTC intègre le désormais célèbre Google Navigation. Il s'agit d'un GPS routier « 3D » doté d'instructions vocales qui s'appuie sur les données cartographiques de Google Maps. Seul problème : le programme n'est pas en mesure de télécharger les cartes une fois pour toutes dans l'espace de stockage. Ces informations sont capturées en live via la liaison GSM.

Conscient des limites du procédé (en campagne notamment), HTC intègre un second service de navigation « Premium » indépendant de Google Navigation. Cette application est bien capable d'enregistrer les données cartographiques sur la carte SD mais comme on pouvait s'en douter, il faut impérativement passer à la caisse pour pouvoir en bénéficier. Navigation Premium est dépourvue de cartes en standard. Étrangement, ces dernières sont commercialisées à un prix identique en version France ou Europe.
  • La carte France coute 8 euros pour 30 jours, 30 euros pour un an ou 40 euros à vie.
  • L'Europe occidentale coute 8 euros pour 30 jours, 30 euros pour un an et 40 euros à vie.

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Google Navigation et Navigation Premium (ROUTE 66)


À noter que ce mystérieux programme n'est autre que Route 66 dans une version remaquillée pour la cause. Quitte à mettre la main au portefeuille, certains utilisateurs préfèreront peut-être opter pour Navigon ou Sygic Mobile Maps (via le Market), même si la licence est un peu plus onéreuse.

Dans le lot des programmes conçus pour tirer parti de la puce GPS, on note trois autres friandises sympathiques. Tout d'abord, on retrouve le tableau de bord qui avait fait son apparition sur l'HTC Touch Cruise. Cet écran plutôt réussi graphiquement offre un accès instantané à l'ensemble des applications GPS intégrées dans le téléphone (Google Navigation, Route 66, etc.). On retrouve également FootPrint, un programme qui permet de réaliser simplement des photos géolocalisées pour sauvegarder ses POI coup de cœur, ou pour les partager via le Web. Enfin, la rubrique « À proximité » (HTC Location) ouvre une application capable de rechercher des points d'intérêts situés à proximité (pizzeria, hôpitaux, pharmacie, etc.). Dans son principe, ce programme est similaire à AroudMe sur iPhone. Il est également possible d'afficher un équivalent de Google Maps qui s'appuie cette fois sur une cartographie téléchargée en local (dans la carte SD) fournie par ROUTE 66.

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Tableau de bord, Footprint et recherche à proximité.


HTC Sense : de nombreuses nouveautés !


Que serait un mobile HTC sans « Sense » ? Le constructeur poursuit sa lancée en apportant de nombreuses améliorations logicielles à Android. La plus grosse nouveauté se nomme HTCSense.com. Il s'agit d'un portail de services « cloud » accessibles depuis un navigateur Web. Il est possible de faire sonner son mobile (en cas de perte), de le localiser sur une carte Google Maps, de le verrouiller ou d'effacer la mémoire à distance. Rien de bien folichon pour le moment, mais l'accès au service est gratuit. HTC promet d'implémenter de nouvelles fonctionnalités dans un futur proche (synchronisation des SMS).

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HTCsense.com, un nouveau portail de services gratuits.


Passons cette fois à la partie émergée de l'iceberg : le système regorge d'une série de petits logiciels qui embellissent l'interface, améliorent l'ergonomie et ajoutent des fonctionnalités bien pensées. En vrac, nous avons apprécié les nouveaux thèmes, le « task switcher » (qui ne permet pas encore de fermer les programmes), le moteur de recherche unifié (local pour les applications et les documents, distant pour le Web).

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Gestionnaire de thèmes, Task Switcher, moteur de recherche unifié


On aime aussi la fonction de sélection ainsi que le copier-coller, même si HTC s'est contenté de cloner les idées d'Apple de façon éhontée.

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HTC clone purement et simplement les systèmes de sélection et de copier-coller d'iOS !


Côté application, on trouve un lecteur de livre électronique (Kobo) permettant également d'accéder à un kiosque de téléchargement, même si on regrette qu'aucun ouvrage français ne soit disponible. HTC fournit également une lampe de poche virtuelle (qui active la LED du flash de l'APN), une application de prévisions météo, une horloge améliorée, des clients Twitter et Facebook ainsi qu'un « Hub HTC » qui regroupe l'ensemble des programmes, Widgets et éléments de personnalisation de l'éditeur. À ce jour, « Sense » est probablement l'interface Android la plus réussie. Les outils GPS n'ont pas été oubliés, comme vous pourrez le constater en consultant le chapitre correspondant.

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Améliorations logicielles : HTC met le paquet !


À propos de l'autonomie du HTC Desire Z


Le Desire Z profite des avantages d'un processeur plus lent que la moyenne (plafonnée à 1Gh pour la concurrence en haut de gamme), sans pour autant nous en faire subir les inconvénients. Le Qualcomm MSM 7230 cadencé à 800 Mhz s'acquitte parfaitement des tâches quotidiennes, et fait pousser des ailes au Desire Z en matière d'autonomie.

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Autonomie : le Desire Z s'en sort plutôt bien


La batterie d'origine de 1300 mAh permet de tenir deux à trois jours en utilisation légère (web et téléphonie sporadique). Lors de l'épreuve d'autonomie, le Desire Z bat ses concurrents à plates coutures. La pratique confirme les excellentes performances du mobile. On peut même se prendre à rêver au score que l'on obtiendrait avec une batterie non officielle de qualité (Mugen, au hasard) de 1800 Ma/h… Même avec la batterie d'origine, il n'y a aucun souci à se faire concernant l'autonomie. Le Desire Z balaie d'un revers de main les suspicions légitimes qui planaient sur son grand frère, le Desire HD.



Conclusion


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Ce Desire Z est véritablement une bonne surprise ! Avec lui, HTC fera sans conteste la joie des amateurs de mobiles à clavier physique. L'articulation est bien pensée, elle inspire confiance et surtout, les touches sont suffisamment grandes pour offrir un bon confort d'utilisation. Seul le trackpad tactile déçoit quelque peu. Ce pointeur n'est pas aussi sensible qu'un mini trackball (HTC Magic, Dream et Hero) ou une souris optique (HTC Legend et HTC Desire). Dommage, en présence du clavier, on apprécie de disposer d'une mini souris précise à portée de pouce. Cela permet de faire défiler les pages, et remplace l'écran tactile lorsqu'on souhaite sélectionner un lien.

En dehors de ce petit bémol qui n'a rien de dramatique, le Desire Z signe presque un sans-faute. Malgré un processeur cadencé à 800 MHz, le Desire Z se montre parfaitement réactif, même lors des activités gourmandes (Web, lecture Flash). Si on ne subit pas de conséquences pénalisantes de cette « faible » puissance (par rapport aux nombreux concurrents à 1Ghz), on en récolte tout de même les avantages dans la mesure où l'autonomie du Desire Z est plutôt bonne. En bref, si vous appréciez Android, et que vous recherchez un bon smartphone à clavier, n'hésitez pas, le Desire Z est fait pour vous.

Seul bémol, à l'heure où nous écrivons ces lignes, le Desire Z n'est pas disponible chez Bouygues, SFR et Orange. Il faut donc faire un tour du côté de Virgin Mobile, ou l'acheter au prix fort (environ 450 euros) pour acquérir un terminal libre d'abonnement…